Ce qui me marque souvent au travers de mes accompagnements, auprès de mes coachés, c’est qu’on a tous – à des degrés divers – cette tendance à vouloir tout contrôler, cette tentation de l’hypercontrôle.
Le contrôle en soi, c’est quelque chose de bénéfique. On en a besoin pour vivre en société. J’ai besoin de contrôler mes émotions, besoin de réfréner mes envies, pour ne pas empiéter sur le territoire de l’autre.
La peur de l'erreur
Ce contrôle, il s’exerce d’abord sur soi-même. Mais ce qui devient problématique c’est quand il prend une telle place dans notre rapport à nous-même, qu’on ne se donne plus le droit à l’erreur.
Quand on fait ça, on déploie une sorte de fantasme de notre propre perfection. On se tend un piège à nous-même : on ne peut pas être parfait, et l’image de soi qu’on se créé à ce moment-là ne peut plus coller avec la réalité. La réalité c’est qu’on est faillible. Et que c’est bien comme ça.
D’ailleurs c’est comme ça qu’on apprend, qu’on progresse, en se trompant, en commettant des erreurs. Mais on ne commet pas d’erreur comme on commet un crime. L’erreur c’est juste une occasion de grandir, de s’améliorer. Ce n’est pas un crime, ni envers soi, ni envers les autres.
La tentation de l'hypercontrôle
L’étape d’après, le degré suivant, c’est qu’après qu’on ait tenté de se contrôler soi, on essaie de contrôler notre environnement. De contrôler les choses, en faisant entrer au forceps un maximum de tâches dans notre emploi du temps par exemple.
Manifestement ce n’est pas possible, ça génère du stress, de l’anxiété, souvent une forme de mal-être sous-jacent. Mais on va quand même plus loin. Puisque je n’arrive pas à me rassurer en me contrôlant moi, ou en contrôlant les choses, le monde qui m’entoure, je vais aller jusqu’à essayer de contrôler les autres, mon entourage, les gens.
Et là on touche du doigt à quel point ça ne peut être que décevant, et à quel point en faisant ça, on passe à côté des gens. Parce qu’ils ne sont pas comme nous les gens. Ils fonctionnent différemment. Et ça, de toutes évidences, je ne l’accepte pas. Je ne les accepte pas, tels qu’ils sont, avec leurs défauts certes, mais aussi avec leurs grandes qualités.
Le coaching pour développer sa confiance en soi
Alors comment sortir de cet hypercontrôle, qui vous pèse ? Et bien la réponse à cette question, c’est vous qui l’avez. C’est à vous de la trouver. Et c’est pour ça que vous prenez un coach à vos côtés, pour que dans le cadre d’une relation privilégiée, incontestablement bienveillante, je vous pose les bonnes questions. Pour que je vous aide à vous recentrer quand c’est nécessaire. Pour que vous trouviez votre propre voie, qui mène à accepter les autres, tels qu’ils sont, le monde tel qu’il est, et à vous accepter vous, tel que vous êtes. A vous découvrir.
Parce que vous contrôler tout le temps, ça vous empêche de vous libérer, de prendre des risques, d’oser. D’oser être vous-même, d’exprimer vos potentialités, votre créativité. Peut-être même que parfois vous avez peur des conséquences que ça pourrait avoir sur votre vie de vous poser les bonnes questions.
C’est là que votre coach de vie à Toulouse et à distance vous accompagne, pour que vous empruntiez votre chemin, le vôtre – j’insiste –, en vous assurant qu’il est bon pour vous, et pour votre entourage.
